C'est surprenant, compte tenu du mot d'ordre de "renforcement de capacités" du gouvernement rwandais, et son désir de faire du Rwanda un exemple de développement et d'intégration. Que le français soit relégué au rang secondaire est une chose, et d'une certaine façon légèrement compréhensible. Mais que la propre langue du pays ne s'emploie plus dans le cadre de l'éducation et du développement des enfants, sachant qu'ils parleront maintenant plus l'anglais, langue qu'ils partageront avec leur collègues de classe, c'est une véritable erreur. Et un sacre coup de pied pour le patrimoine culturel du pays et de la région, pour un pays qui refuse même d'accepter le swahili.
C'est surprenant, compte tenu du mot d'ordre de "renforcement de capacités" du gouvernement rwandais, et son désir de faire du Rwanda un exemple de développement et d'intégration.
RépondreSupprimerQue le français soit relégué au rang secondaire est une chose, et d'une certaine façon légèrement compréhensible.
Mais que la propre langue du pays ne s'emploie plus dans le cadre de l'éducation et du développement des enfants, sachant qu'ils parleront maintenant plus l'anglais, langue qu'ils partageront avec leur collègues de classe, c'est une véritable erreur. Et un sacre coup de pied pour le patrimoine culturel du pays et de la région, pour un pays qui refuse même d'accepter le swahili.