Après une première phase consacrée aux évaluations internationales et
régionales, nous nous attachons dans ce rapport à présenter un panorama
sélectif des enquêtes nationales. L'accent ici sera placé sur la
comparaison des méthodes : sont-elles différentes le long de l'échelle
de développement ? En comparant des exemples le long de cette échelle,
nous remarquerons l'impact du clivage sur le niveau d'initiative
centrale ou décentralisée pour l'école. La pratique des enquêtes montre
bien que si l'initiative reste décentralisée souvent l'évaluation peut
conduire à décrire le degré d'harmonisation d'un système et offrir une
mesure de la nécessité d'une certaine homogénéité du produit scolaire
comme une obligation de résultat. Cela renforce la vision tout au long
de l'échelle de développement du rôle de biens publics mondiaux qui sont
de plus en plus assumés par les savoirs de base. Si la norme en ce
domaine reste fixée par les enquêtes internationales, celles-ci
permettant de découvrir le problème par comparaison, aussi faut-il
identifier là où sont les manettes sur lesquelles les politiques peuvent
agir. On retrouve donc la question de l'école efficace par l'éventuelle
adoption ou transcription de bonnes pratiques qui viennent de la
comparaison internationale. Par ailleurs, se
retrouve tout autant la question de l'école juste qui permet à chacun quel que soient son lieu de vie, ses origines sociales ou culturelles de pouvoir accéder à ces savoirs, qu'ils soient acquis durablement et que ce niveau d'instruction permette d'assurer les capacités nécessaires à l'adulte.
retrouve tout autant la question de l'école juste qui permet à chacun quel que soient son lieu de vie, ses origines sociales ou culturelles de pouvoir accéder à ces savoirs, qu'ils soient acquis durablement et que ce niveau d'instruction permette d'assurer les capacités nécessaires à l'adulte.
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